lundi 31 janvier 2011
Hérésie d'Horus: Les Faux Dieux
La suite que j'ai attendu en piaffant des mois durant! Sorti en 2006, voici donc le résumé du 4è de couverture:
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La Grande Croisade se poursuit ; l'Empereur de l'Humanité en a confié les rênes à son fils favori, Horus, le Maître de Guerre. Tout ne va cependant pas pour le mieux au sein des armées de l'Imperium. Horus est toujours l'objet de la jalousie et du ressentiment de ses frères Primarques, et il lui faut également combattre ses démons intérieurs. Affaibli par la blessure qu'il reçoit au combat dans le système de Davin, parviendra-t-il à résister à toutes les tentations que le Chaos peut offrir ?
Le récit épique de l'Hérésie se poursuit dans cette suite de L'ascension d'Horus. Le destin de la galaxie repose désormais sur le simple choix d'un seul homme : la loyauté… ou la dissidence ?
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Le second auteur de la BL que j'apprécie le plus dans ce que j'ai lu pour le moment, c'est Graham McNeil. Le bonhomme a été responsable de la dimension fluff dans les codex de GW, il sait normalement un peu de quoi il parle.
Il est toutefois un peu moins captivant dans son style que ne l'est Abnett et bon, ça se ressent à la lecture de ce tome. Toutefois le livre reste de très haut vol par rapport à beaucoup d'autres, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.
Ce livre narre la chute de l'ami Horus. Et c'est justement le point faiblard du livre, ce qui est un peu dommage.
Un peu de l'histoire que je vous explique: Horus conquiert du territoire, rassemble le troupeau de l'humanité sous l'égide de l'Empereur, il est le fils favori, seulement voilà, un des mondes qu'il a conquit fait mine de pas vouloir se soumettre finalement. La honte absolue pour le Maitre de Guerre. Du coup il fait demi-tour et s'en va châtier les mécréants. Mais c'est un piège mis en place par les What4, Horus s'en sortira-t-il vivant?
Jusque là l'histoire est plutôt bien ficelée, toujours narrée en suivant Gavriel Loken, sauf LE moment de la Chute qui est narré avec Horus comme personnage principal, logique. On sent bien que McNeil veut nous faire comprendre la psychologie d'Horus et son état d'esprit et de désespoir, seulement voilà, ce morceau là est un peu trop grand pour lui... Dommage, mais heureusement ce n'est pas totalement foiré non plus.
Donc mon avis: malgré le manque de talent pour rendre justice à un personnage avec une psychologie complexe (Horus mais aussi de Gavriel Loken), j'ai dévoré ce livre avec avidité, parce que finalement l'action est rythmée, sans trop de longueurs, c'est bourré de background, bref, c'est du bon!
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